La relation d’aide selon Carl Rogers 4/4

4) La relation d’aide ou l’achèvement du don de soi

Ces trois actes qui sont autant de vertus – la congruence, la considération positive inconditionnelle et l’empathie – conduisent à ce qui constitue le cœur et le sommet de l’ACP : la relation d’aide.

a) La chose

Carl Rogers définit la relation d’aide d’abord par sa finalité :

 

« J’entends, par ce terme de relation d’aide, des relations dans lesquelles l’un au moins des deux protagonistes cherche à favoriser chez l’autre la croissance, le développement, la maturité, un meilleur fonctionnement et une meilleur capacité d’affronter la vie [1] ».

 

Il la définit ensuite par son efficience, et là est le plus spécifique :

 

« On pourrait encore définir une relation d’aide comme une situation dans laquelle l’un des participants cherche à favoriser chez l’une ou l’autre partie, ou chez les deux, une appréciation plus grande des ressources latentes internes de l’individu, ainsi qu’une plus grande possibilité d’expression et un meilleur usage fonctionnel de ces ressources [2] ».

 

Rogers veut tenir deux choses : 1. nous avons besoin des autres, et cela est particulièrement vrai des personnes en difficulté, plus fragiles ; 2. Jamais l’autre ne peut se substituer à nous dans l’action. Comment concilier ces deux impératifs contradictoires ? Par la relation d’aide. Mais il faut prendre le terme « aide » au sens le plus précis de cause adjuvante par opposition à la cause principale. Or, l’action jaillit des potentialités présentes dans l’agent principal que la cause adjuvante aide à révéler. Dès lors, l’action de l’aide (le thérapeute) consiste à éveiller l’autre aux potentialités qui gisent en lui. « Rogers conçoit que, si chaque individu a foncièrement les capacités pour trouver des solutions à ses problèmes, il est prudent de ne pas infléchir mécaniquement ce que cet individu ressent et élabore originalement à l’intérieur de lui-même. Plus on sait l’être humain fragile et requérant de soin, ayant besoin de beaucoup de chaleur, davantage il est prudent de ne pas interférer par une directivité maladroite, excessive, imprudente, sur cet aspect autodirectionnel, sur cette possibilité de réalisation et d’organisation de soi. Il faut pourtant favoriser par la texture sociale cette potentialité de croissance ».

Et Rogers de donner trois exemples qui sont aussi des métaphores. Celui du jardinier qui est cause adjuvante à l’égard de l’arbre, et de la nature en général : l’arbre « dispose de directionnalité, car si on lui coupe une branche, il en repoussera une autre si besoin est. Mais il a néanmoins également besoin d’un certain humus [3] ». Notre auteur parle aussi parfois de maïeutique : « Rogers se présentait […] comme la sage-femme qui s’émerveille à la naissance d’un soi, d’une personne [4] ». Mais Rogers estime que « la meilleure analogie pour exprimer la psychothérapie (et, plus généralement, les relations humaines), l’apport d’un liquide ‘amniotique psychologique’ [5] ».

Peretti se pose lui-même l’objection : « On dit parfois aujourd’hui qu’il ne faut pas aider les autres, qu’aider, c’est prétentieux, paternaliste ». Et il y répond : aider, « ça ne veut pas dire forcément qu’on est en état de supériorité : on a souvent besoin d’un plus petit que soi ! »

Nous retrouvons ici la doctrine aristotélicienne de la relation entre l’art et la nature (expliquée, en partie par la doctrine avicénienne de la hiérarchie des causes efficientes). Mais on peut aussi en rendre compte en termes de don. Le but de la pédagogie, de la médecine, de la psychothérapie, d’une aide, quelle qu’elle soit, n’est pas de créer le cœur qui est déjà là, mais de le susciter, de reconduire la personne à ce cœur. En effet, le cœur est une capacité de réception autant que d’action.

b) Le nom

Sous cet aspect, on peut parler de non-directivité ; mais le terme de relation d’aide est préférable, car il décrit positivement l’action du thérapeute. « La technique primordiale, qui conduit la prise de conscience chez le client, requiert de l’aidant un suprême degré de retenue, plutôt qu’un suprême degré d’initiative agissante [6] ».

Rogers parle aussi de conseil (counseling), encore faut-il entendre par conseil, du côté de l’accompagnateur : une écoute plus qu’une intervention, et du côté de l’accompagné : une attention à la personne plus qu’au problème posé : « Le conseil se propose de favoriser chez l’individu une plus grande autonomie et une personnalité mieux harmonisée. Il ne semble pas qu’il faille attendre de meilleurs résultats d’une méthode où le conseiller donnerait son avis pour résoudre les problèmes. L’attention est dirigée sur la personne et non sur le problème [7] ». Là encore, la philosophie traditionnelle est éclairante : en effet, tout proche de la cause adjuvante se trouve la causa consilians.

c) Le présupposé anthropologique : la bonté humaine

Rogers s’est bien rendu compte que cette doctrine de la relation d’aide se fondait sur une représentation particulière de l’homme. Si l’intervention du psychothérapeute est seulement extérieure, adjuvante, c’est donc que la personne : 1. est douée de capacités actives ; 2. que ces capacités sont à demeure ; 3. qu’elles sont foncièrement bonnes : « la nature fondamentale de l’être humain, quand il fonctionne librement, est constructive et digne de confiance. Ceci est pour moi la conséquence inéluctable d’un quart de siècle d’expérience en psychothérapie [8] ». Rogers ne nie pas que l’homme commette le mal, mais il souligne que, chez le pire des hommes, demeure encore du bon :

 

« Je ne crois pas avoir une vue naïvement optimiste de la nature humaine. Je suis tout-à-fait conscient du fait que, par besoin de se défendre contre des peurs internes, l’individu peut en arriver à se comporte de façon incroyablement cruelle, horriblement destructive, immature, régressive, anti-sociale et nuisible. Il n’en reste pas moins que le travail que je fais avec de tels individus, la recherche et la découverte des tendances très positivement orientées qui existent chez eux comme chez nous tous, au niveau le plus profond, constitue un des aspects les plus réconfortants et les plus vivifiants de mon expérience [9] ».

 

Prenons un exemple : l’homme apparemment sauvage est, au fond de lui-même, « incurablement sociable » : « En thérapie, on dévoile continuellement des sentiments hostiles et anti-sociaux, si bien qu’il est facile de supposer que ceux-ci indiquent la nature profonde et, par conséquent, la nature fondamentale de l’homme. C’est seulement peu à peu qu’il est devenu évident que ces sentiments sauvagse et anti-sociaux ne sont ni les plus profonds ni les plus forts et que le noyau de la personnalité est l’organisme lui-même dont l’essence est de se conserver et d’avoir une vie sociale [10] ».

Là encore, il s’agit bien d’un retour au cœur, inentamé car inentamable.

5) Les fruits du don de soi

Ces quatre attitudes culminant dans la relation d’aide fructifient de multiples manières qui sont autant de confirmations que la logique sous-jacente à l’ACP est bien la dynamique du don.

a) Le primat du cœur

Considérons donc plutôt les données moissonnées par Rogers. Le cœur me semble être le principe explicatif. Tout converge vers lui : le patient (ou le client) doit pouvoir rentrer dans son cœur et le thérapeute l’y aider, avec toute la délicatesse que cela suppose.

Il y a la violence qui réduit l’autre (la personne, le peuple) en esclavage, qui en fait un moyen. Notre monde y est heureusement de plus en plus sensible. Mais il y a une violence plus subtile qui discerne bien dans l’autre une personne ; et, justement, parce qu’autrui est une personne, il faut lui inculquer ce qui est vrai et lui imposer ce qui est bon, quitte à écraser sa liberté.

La violence la plus profonde, la plus fréquente et la plus ignorée faite à autrui est de lui proposer une vérité qu’il ne voit pas (quelle que soit la raison), ou de lui imposer un bien qu’il ne veut pas. Notre monde qui a trop dissocié le vrai et le bien, au point de désespérer des deux, a d’abord pris une conscience infinie d’un vrai voulu sans que soit d’abord recherché le bien d’autrui. Finalement, on pourrait dire que les études de Michel Foucault sur le dressage du corps ont heureusement dénoncé les violences justifiées au nom du vrai (« Abjure ton infidélité, hérétique ») et du bien (« C’est pour ton bien »). L’erreur opposée, tout aussi irrecevable, serait de disqualifier le vrai et le bien en les liant nécessairement à la violence.

De ce point de vue, la doctrine catholique de la liberté religieuse est une merveille d’équilibre : la liberté est pour la vérité ; mais la condition d’accueil de la vérité est le respect inconditionnel de la liberté. L’oubli si fréquent d’un des deux termes chez les chrétiens (oubli laïciste de la vérité ; oubli intransigeant de la liberté) en dit long sur la difficulté à tenir cet équilibre.

La question est de réconcilier non pas d’abord extérieurement, mais intérieurement les deux facultés spirituelles chargées de poursuivre le vrai et le bien. Or, c’est le cœur qui en unifie l’usage. Il s’agit donc, une nouvelle fois, de descendre en nos cœurs. Toute personne qui fait violence à l’autre au nom de sa vérité, n’a pas non seulement pacifié son cœur, mais réconcilié, unifié son cœur, se transforme intérieurement en champ de bataille entre liberté et vérité. Une anthropologie du don doit très finement articuler volonté et intelligence. Combien de cœur sont violés au nom du primat de la vérité. Sur ce point, l’écoute des enfants, des personnes handicapées et des plus pauvres est des plus précieuses.

b) Les relations mutuelles entre don 2 et don 3

Le don de soi est l’accomplissement de soi. Autrement dit, le don 3 achève le don 2 (l’appropriation).

 

« C’est pour moi un enrichissement que d’ouvrir les voies de communication qui permettent aux autres de me faire part de leurs sentiments et de leur univers, tels qu’ils le perçoivent. C’est parce que je sens tout ce que m’apporte la compréhension que je cherche à faire disparaîter les barrières qui existent entre les autres et moi-même, afin que, s’ils le désirent, ils puissent se révéler plus complètement à moi [11] ».

 

En effet, l’empathie, la relation d’aide conduisent directement à un changement :

 

« Voici l’aspect paradoxal de mon expérience : plus je suis disposé à être simplement moi-même, dans toute la complexité de la vie, plus je cherche à comprendre et à accepter ce qu’il y a de réel en ma personne et en celle de l’autre, plus il se produit de changements. Il est en effet paradoxal de constater que dans la mesure où chacun de nous accepte d’être lui-même, il découvre non seulement qu’il change, mais que des personnages, avec qui il est en rapport, changent aussi [12] ».

 

La philosophie du cœur l’explique : par l’empathie, la personne se sent rejointe en son cœur, plus encore, elle rejoint, elle touche son cœur. Or, le cœur est l’origine de l’agir, le principe d’où part les véritables actions ; plus encore, dans le cœur, il n’y a pas de distance entre les facultés que la connaissance trop superficielle de soi, nos défenses morcellent : celui qui vit dans son cœur ne sépare plus vrai et bien, contemplation et action.

c) La communion ou le don 3 réciproque

Le don est pour la communion. En effet, autant l’empathie et la relation d’aide sont asymétriques, autant la communion est réciproque. Or, la finalité de ces méthodes est la construction d’une relation symétrique.

 

« Si je puis me fier à moi-même tel que je suis et à l’autre tel qu’il est, avec ce que nous ressentons et avec nos butées et nos contradictions ou nos dissonances momentanées, en accompagnant l’autre là où il se place, […] et si ma présence est suffisamment intense, sans toutefois exercer de poussée sur lui […], loin de nous fixer, j’aurai accru nos possibilités réciproques d’évoluer de concert au moindre coût, selon nos orientations positivse propres [13] ».

6) Évaluation critique

Je me contenterai de quelques observations de détail.

a) Une réserve

Comment ne pas approuver cette absolue soumission au fait, et notamment à l’expérience intérieure ? Mais cette affirmation ne va pas sans un certain réductionnisme empiriste excluant et l’appréciation intellectuelle et l’autorité de la foi. Voici d’une part une assertion contre la sagesse de l’esprit : « Chaque fois que j’ai fait confiance à un sentiment interne et non intellectuel, j’ai découvert la sagesse de mon action [14] ». D’où la conséquence et la confirmation dans la vie volontaire :

 

« Quand nous réussissons à libérer l’individu de ses attitudes de défense […], on peut faire confiance à ses réactions : elles seront positives, dynamiques, constructives. Nous n’avons pas à demander qui les socialisera : car l’un de ses besoins les plus profonds est celui de l’association aux autres et de la communication avec eux […]. Nous n’avons pas à demander qui contrôlera ses instincts d’agressivité, car au fur et à mesure qu’il deviendra plus ouvert à tous ses instincts, son besoin d’être aimé d’autrui et sa tendance à donner de l’affection seront aussi forts que les instincts qui le poussent à frapper ou à saisir [15] ».

 

C’est en quelque sorte nier le travail de la vertu, la nécessité de l’ascèse, du renoncement à soi, de la conversion.

D’autre part, voici une affirmation contre l’autorité de la foi : « Ma propre expérience est la pierre de touche de toute validité. […] Ni la Bible, ni le Prophète, ni Freud, ni la Recherche, ni les révélations émanant de Dieu ou des hommes ne sauraient prendre le pas sur mon expérience directe et personnelle [16] ».

b) Un principe de méthode

Si discutable soit telle ou telle théorisation de Rogers – à commencer par ses présupposés empiristes, , ses observations sont souvent préférables, au point de les corriger. En effet, le psychologue américain est avant tout fidèle à la réalité qu’il ne cesse de scruter avec humilité.

En voici un exemple : son empirisme le pousserait nativement à douter de l’universel, voire de la vérité. De plus, à trop être congruent, respecter l’autre, n’y a-t-il pas un risque de ne jamais sortir non pas de soi, puisque l’empathie est ouverture à l’autre, mais à ne jamais atteindre l’universel ? Rogers répond avec profondeur :

 

« Une de mes découvertes les plus enrichissantes, parce que, grâce à elle, je me sens plus proche d’autrui, pourrait s’exprimer comme suit : ce qui est le plus personnel est aussi ce qu’il y a de plus général. […] J’ai presque toujours découvert que le sentiment qui me paraissait le plus intime, le plus personnel et, par conséquent, le plus incompréhensible pour autrui, s’avérait être une expression qui évoquait une résonnance chez beaucoup d’autres personnes. J’ai fini par en conclure que ce qu’il y a d’unique et de plus personnel en chacun de nous est probablement le sentiment, même qui s’il était partagé ou exprimé, parlerait le plus profondément aux autres ».

 

Et Rogers d’en déduire : « Cela m’a permis de percevoir les artistes et les poètes comme des êtres qui osent exprimer ce qu’il y a d’unique en eux [17] ».

Ne retrouve-t-on pas là, appliquée au cœur, une loi secrète qui vaut aussi pour l’être, la lumière et, sans surprise, le don : plus une réalité est intime, plus elle est universelle ? En effet, tous les cœurs, tous les centres sont des lieux de jaillissement, autant que de réceptivité : « L’eau que je te donnerai deviendra en toi source d’eau jaillissant en vie éternelle » (Jn 4,14).

c) Un discernement

Je distinguerai entre sa philosophie pratique qui me semble heureuse et une philosophie théorisée parfois discutable. Par exemple : « Je crois que le meilleure façon d’exposer ce but de la vie, tel que le vois dans mes rapports avec mes clients, est d’employer les mots de Sœren Kierkegaard : être vraiment soi-même [18] ». En fait, Rogers veut dire qu’il faut toujours partir de la congruence, ce qui est assurément vrai ; mais l’origine n’est pas la finalité. La confusion vient non d’un regard erroné sur le réel mais d’un manque de rigueur dans la systématisation. Ce n’est pas la seule fois que Rogers confond cause et conséquence. Reprenons une citation que nous avions amputée de ses premiers mots : « Une conséquences des vues que je présente est que la nature fondamentale de l’être humain, quand il fonctionne librement, est constructive et digne de confiance [19] ». Or, cette conséquence, inductivement établie, est ontologiquement adéquate.

Bibliographie

Je ne mentionne que les ouvrages.

1) Bibliographie primaire

– Carl Rogers, La relation d’aide et la psychothérapie, trad. Jean-Pierre Zigliara, Paris, ESF, 1971, 111996, 2 tomes.

Le développement de la personne, trad. Éléonore Lily Herbert, Paris, Dunod, 1966, 21970.

Autobiographie, trad. Jacques Hochmann et Catherine Dubernard, Paris, Épi, 1971.

Liberté pour apprendre ?, trad. Daniel Le Bon, coll. « Sciences de l’éducation » n° 5, Paris, Dunod, 1972.

Les groupes de rencontre, trad. Daniel Le Bon, coll. « Sciences de l’éducation » n° 9, Paris, Dunod, 1973, 1976.

Réinventer le couple, trad. Théo Carlier, Paris, Robert Laffont, 1974, coll. « Réponses », 1990.

Un manifeste personnaliste. fondements d’une politique de la personne, trad. Michèle Navarro, coll. « Organisation et sciences humaines » n° 18, Paris, Dunod, 1979.

– Carl Rogers et Godelieve Kinget Marian, Psychothérapie et relations humaines. Théorie et pratique de la thérapie non-directive, Louvain, Publications Universitaires, 1962 ; éd. revisée, 21965 ; Louvain, Publications Universitaires et Paris, Béatrice Nauwelaerts, 1966, 2 tomes.

2) Bibliographie secondaire

– Howard Kirschenbaum et Valérie Land Henderson (éds.), L’approche centrée sur la personne. Anthologie de textes, Lausanne, Randin, 2001.

– André de Peretti, Présence de Carl Rogers, Paris, Eres, 1997 ; Pensée et vérité de Carl Rogers, Toulouse, Privat, 1974 (préface de Carl Rogers).

– Jean-Marc Priels et Claire Demaret, « L’Approche Centrée-sur-la-Personne. Esquisse d’une bibliographie Francophone 1951-1998 », Supplément au n° 15 de Mouvance Rogérienne, Mars 1999, p. 23-26.

– Brian Thorne, Comprendre Carl Rogers, trad. Daniel Le Bon, coll. « Pédagogique », Toulouse, Privat, 1994.

3) Autres livres sur le même sujet

– Jean Artaud, L’écoute, attitudes et techniques. L’écoute dans les relations humaines, Lyon, Chronique Sociale, 1991.

– Jean-Luc Hetu, La relation d’aide. Éléments de base et guide de perfectionnement, Paris, Gaetan Morin, 1994

– Roger Mucchielli, L’entretien de face à face dans la relation d’aide, Paris, ESF Édition, 1998.

– Jacques Salomé, Relation d’aide et formation à l’entretien, Lille, Presse Universitaire de Lille, 1990.

4) Webographie

Pour les articles, cf. les sites Internet dédiés à Carl Rogers. Par exemple, en langue française : http://members.1012surfnet.at/pfs/bibliocrrfr.htm#edit

Pascal Ide

[1] Carl Rogers, Développement de la personne, p. 29.

[2] Ibid., p. 29.

[3] André de Peretti, Pensée et vérité de Carl Rogers, p. 160.

[4] Ibid., p. 47.

[5] Ibid., p. 160.

[6] Carl Rogers, La relation d’aide et la psychothérapie, p. 196.

[7] Ibid., p. 196 : Développement de la personne, p. 29.

[8] André de Peretti, Pensée et vérité de Carl Rogers, p. 148.

[9] Ibid., p. 25.

[10] Ibid., p. 158 et 159.

[11] Ibid., p. 18.

[12] Ibid., p. 20.

[13] Ibid., p. 147.

[14] Ibid., p. 21.

[15] Ibid., p. 148.

[16] Ibid., p. 149.

[17] Ibid., p. 24.

[18] Ibid., p. 174.

[19] Ibid., p. 148.

8.2.2019
 

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