« La prière ‘sans relâche’ que prescrit saint Paul (1 Th 5,17) est possible dans l’action même. Non pas tant sur la base d’une technique du genre de la ‘prière de Jésus’ orientale, mais un peu comme un jeune homme porte sans cesse dans son cœur, vivante et efficace, l’image de sa bien-aimée, au milieu des occupations les plus étrangères ; ou bien comme le chevalier des anciens romans qui savait accomplir toutes ses actions à la gloire de sa dame [1] ».
Un des versets les plus courts des Saintes Écritures qui, sous la plume incisive de saint Paul, sonne comme une exigence, nous demande de vivre la prière continuelle : « Priez sans cesse [ἀδιαλείπτως : littéralement « sans abandonner »] » (1 Th 5,17). Il suit d’ailleurs un autre verset… réjouissant : « Réjouissez-vous toujours [Πάντοτε : littéralement « tous les temps »] ». Sans doute parce qu’il y a un lien entre la prière continuelle et la joie continuelle.
Sainte Thèrèse d’Avila dit même que « ce devoir » – « prier sans cesse » – assigné par l’Apôtre est « le plus important de tous [2] ». En cela, d’ailleurs, elle ne fait que suivre la Règle primitive du Carmel qui affirme : « Que chacun demeure dans sa cellule ou près d’elle, méditant jour et nuit la loi du Seigneur et veillant dans la prière, à moins qu’il ne soit légitimement occupé à autre chose [3] ». Ce faisant, la Madre nous livre son expérience secrète qu’est l’union permanente avec Dieu : sa parole est une « lave brûlante » qui jaillit et exprime « ce qu’elle vit elle-même de plus intime et de plus précieux [4] ».
Sans en faire un exposé ex professo sur cette prière du cœur, elle nous offre toutefois quelques précieux conseils pour entrer dans ce commerce vital si souhaitable et apparemment si inabordable [5].
1) Analogie de l’amitié humaine
La réformatrice du Carmel prend volontiers l’exemple de l’amitié humaine. Deux personnes qui s’aiment souhaitent vivre le plus souvent et le plus longtemps ensemble, recherchent ce que Thérèse appelle la « compagnie » de l’être aimé. La convivialité (littéralement, « la vie avec », « la vie commune ») n’était-elle pas l’une des trois notes de l’amitié dont parlait Aristote ? Inversement, « le manque de rapport avec une personne » fait que, même si elle nous est « unie par les liens du sang, elle nous devient comme étrangère, tant il est vrai que la parenté et l’amitié disparaissent du moment que les relations font défaut [6] ». En effet,
« il ne suffit pas d’être matériellement à côté, il faut une relation interne, il faut que passe un courant. Il peut se faire que des êtres vivent côte à côte durant de longues années sans qu’ils soient pour autant ‘présents’ l’un à l’autre ; il ne s’agit alors que d’une coexistence matérielle sans chaleur. Par contre, des personnes qui n’ont jamais pu vivre ensemble matériellement, sont présentes d’une manière spirituelle, avec de nombreuses relations conscientes […]. La présente est un courant intérieur qui ne se laisse pas enfermer dans un lieu, et qui fait un bond au-dessus du temps [7] ».
Si la communication nourrit la communion, dans l’autre sens, la communion fréquente simplifie cette communication : « Deux personnes qui s’aiment beaucoup sur la terre et qui possèdent un bon jugement, n’ont même pas besoin, ce semble, de signes pour se comprendre ; elles n’ont qu’à se regarder [8] ».
Toutefois, cette présence si désirée, si dense et si comblante de l’aimé n’est pas possible. Inévitablement, la vie se charge de séparer ceux que l’amour a unis et veut constamment réunir. Cette absence va-t-elle contrarier l’amour ? Notre nature a prévu le moyen de vivre cette présence dans l’absence : le souvenir. Selon le père Baudry, la séparation physique ou l’absence jouent trois rôles dans la grande amitié (et dans l’amour) :
- Lorsque l’aimé est éloigné dans l’espace et le temps, le souvenir est ce qui rend présent l’aimé à la conscience de l’aimant. Et cela vaut aussi pour ceux que l’on aime et qui nous ont quittés, c’est-à-dire les personnes décédées : « Parfois ceux qui me tiennent compagnie et avec qui je me console sont ceux que je sais vivant dans ce séjour. Il me semble que ceux-là sont véritablement vivants [9]».
- Le souvenir authentique ou plutôt la séparation physique permet de ne pas se satisfaire de l’absence et d’aviver le désir d’un nouveau face à face. La Carmélite espagnole l’a éprouvé aussi dans les relations humaines et a dit sa plainte. Ainsi, lorsque Jean de la Croix la quitte pour aller rejoindre Anne de Jésus au carmel de Beas, Thérèse d’Avila ose confier à l’un de ses correspondants : « Vous ne sauriez croire en quelle solitude il m’a laissée […]. Je vous le certifie, je voudrais tant avoir ici mon Père frère Jean de la Croix, il est vraiment le père de mon âme, et l’un de ceux dont l’entretien me fut le plus profitable [10]».
- Le souvenir, ou plutôt l’absence, permet de purifier ce qui, dans l’amour, est encore possessif et captatif, donc égoïste : « Ceux qui aiment de cette façon [dans un désintéressement absolu] connaissent l’amour véritable, ils sont toujours beaucoup plus portés à donner qu’à recevoir [11]».
Si le souvenir est précieux, comment opère-t-il ?
La mémoire est d’abord celle de la pensée affectueuse qui se porte vers l’aimé : « Venais-je à m’apercevoir qu’une personne m’était affectionnée, confie-t-elle en le regrettant, si par ailleurs elle me plaisait, je m’attachais tellement à elle, que ma mémoire en demeurait remplie […]. Je prenais plaisir à la voir, à penser elle, à me souvenir des bonnes qualités dont je la voyais douée [12] ».
Mais, pour Thérèse de Jésus, le cœur de la relation d’amitié, ce qui est encore plus profond que la présence physique de l’aimé, est ce qu’elle appelle la « conformité de volonté ». En fait, volonté désigne ici non pas la faculté, mais son objet et même sa fin. Ainsi, cette conformité signifie « projet de vie », « bien commun », c’est-à-dire la direction que j’entends donner à ma vie entière. Mais il faut dire plus. La volonté de l’autre exprime non pas ce qu’il veut, mais plus particulièrement ce qu’il désire ardemment et qui est bon pour lui. Dès lors, la « conformité de volonté », c’est l’union de ma volonté à ce qui est meilleur pour l’autre, donc la communion des volontés. La religieuse le dit avec précision dans ses Méditations sur le Cantique des Cantiques :
« Il n’y a plus qu’une seule et même volonté, manifestée non par des paroles ou par des désirs seulement, mais par des œuvres. Aussi, dès qu’elle comprend qu’elle sert mieux son Époux en quelque chose, elle éprouve un tel amour pour lui, elle brûle d’un si grand désir de le contenter, qu’elle n’écoute point les raisons que l’entendement lui fournit pour l’en détourner ni les craintes qu’il lui suggère ; elle laisse seulement agir la foi sans considérer ni son intérêt ni son repos; car elle a enfin fini de comprendre que c’est là qu’elle trouvera tout bien [13] ».
Or, par cette union des volontés, désormais le souvenir de l’aimé devient continuel. La présence est continue, malgré les absences, même lorsque les amis ne sont plus côte à côte.
Et puisqu’aimer, c’est vouloir le bien de l’autre, rechercher ce qui est bon pour l’autre, c’est l’aimer et le rechercher ardemment, follement. Aussi Jacques Maritain parle-t-il de « l’amour fou » entre les personnes [14].
2) Application à la prière continuelle avec Jésus : le souvenir de l’Ami divin
Dieu est partout présent et surtout présent en moi (cf. Jn 14,23) et toujours présent à moi. La difficulté suscitée par l’absence de l’ami humain ne devrait donc plus se poser. En réalité, nous le savons bien, nous ne sommes pas toujours, réciproquement, présents à Dieu. Pas seulement parce que nous sommes pécheurs, mais simplement parce que, comme Marthe, nous nous laissons « accaparer par les multiples occupations du service » (Lc 10,40) et ne consentons pas, comme Marie, à nous arrêter et nous asseoir aux pieds du Seigneur, pour écouter sa parole (cf. v. 39). Ainsi, derechef, se pose la question affectivement si déchirante et pratiquement si difficile de la présence continuelle de l’âme à son divin Ami.
Thérèse d’Avila est à nouveau un conseiller avisé, elle qui a dû si souvent quitter son couvent chéri pour courir sur les routes d’Espagne fonder de nouveaux monastères, elle qui fut si fréquemment occupée (au risque d’être préoccupée) par les mille obstacles que suscite cette dérangeante et exigeante réforme.
- La réponse réside à nouveau dans le souvenir bien compris :
« Selon moi, l’oraison mentale n’est autre chose qu’une amitié intime, un entretien fréquent, seul à seul, avec Celui dont nous nous savons aimés [15] ».
L’on retient souvent de cette définition que l’oraison est ce dialogue intime, et l’on a raison. Toutefois, il ne faudrait pas à ce point symétriser la relation qu’on oublie que Dieu prend toujours l’initiative. Aussi la Sainte prend-elle le soin de préciser : « avec Celui dont nous nous savons aimés ». Or, ce savoir suppose la mémoire des signes que Dieu a donnés. Donc, la prière est un souvenir explicite actualisé de Dieu. Enfin, Thérèse introduit une note temporelle, elle aussi souvent négligée. Elle parle, en effet, d’« un entretien fréquent [muchas veces] » et non pas constant. Elle nous dit ainsi que notre présence à Jésus ne peut être continue que si elle est portée par des actes discontinus d’attention.
- Passons de l’acte à son « objet ». La mémoire porte sur la Personne du Christ. Autrement dit, la prière requiert l’attention exclusive, la concentration de mes Facultés sur Jésus qui est présent :
« Sachez, mes filles, que l’oraison n’est pas vocale ou mentale parce que nous avons la bouche ouverte ou fermée. Si, quand je prie vocalement, je suis entièrement occupée de Dieu, à qui je m’adresse, si je songe à Lui [advertencia] avec plus de soin qu’aux paroles mêmes que je prononce, j’unis l’oraison mentale à l’oraison vocale [16] ».
Ce que la Madre affirme est : peu importe la durée de la prière, brève ou prolongée ; peu importe la modalité de la prière, orale ou vocale, active ou passive, etc. ; peu importe la forme de la prière, adoration, intercession, action de grâces, contrition ; peu importe le contenu de la prière, la parole de Dieu, une oraison de la liturgie, etc. L’essentiel est le souvenir explicite actualisé de l’Ami divin. Autrement dit, cette mémoire s’identifie à l’attention et l’attention à l’autre : la prise de conscience, la vigilance à l’égard de cette présence permanente de Dieu dans le fond de mon cœur.
- Les moments d’oraison
Considérons maintenant l’inscription dans le temps. Il est tout d’abord nécessaire de prier quotidiennement :
« Il est de la plus haute importance pour tous les chrétiens de s’y adonner. Il n’y a personne, si coupable qu’il soit, qui doive la négliger dès que Dieu lui inspire un tel bien [17] ».
La conséquence, c’est l’entraînement. La prière continuelle ne vient pas en claquant des doigts. Et, comme toute disposition habituelle, son acquisition suppose la multiplication des petits actes quotidiens. Or, à chaque fois, sainte Thérèse de Jésus en parle comme d’une retraite intérieure et d’un acte de mémoire actualisante qui nous permet de rendre (conscientiellement ou subjectivement) présent Celui qui nous est toujours objectivement présent :
« Nous devons veiller avec soin sur nous-mêmes et ne point oublier, au milieu même des œuvres commandées par l’obéissance et la charité, de recourir souvent à Dieu au plus intime de notre âme [18] ».
« Au milieu de nos occupations, nous devons nous retirer au-dedans de nous-mêmes, ne serait-ce qu’un instant, en nous rappelant seulement Celui qui nous tient compagnie ; et cette pratique est extrêmement profitable [19] ».
« Je sais bien que je ne puis y [la prière] consacrer de longues heures ; mais, ô mon Seigneur, quelle puissance n’a pas auprès de vous, un soupir qui jaillit du fond du cœur [20] ». Elle parle aussi « pour l’âme qui aime » de « mille autres actes qui se présentent [21] » ou des « petites brindilles que l’on jette sur l’étincelle de l’amour [22] ». Bref, autant d’expressions concrètes pour dire ce que le langage technique appelait « oraison jaculatoire » (de jacula, « lance »).
- Un doute pourrait nous saisir. Grâce à cet entraînement, qui ne se fait pas en dehors de la grâce de Dieu, arrive-t-on progressivement à cette union continuelle, cette prière sans rupture ? Nous possédons, pour répondre à cette question, le témoignage précieux du confesseur de Thérèse lors de la fondation du monastère Saint-Joseph d’Avila :
« Je la priai un jour de me dire comment elle passait son temps, car je m’imaginais qu’elle consacrait quelques heures à l’oraison, et que le reste du temps elle s’occupait des autres exercices de la communauté. Elle me répondit que je touchais un point délicat et que je lui donnais une vraie peine de conscience. Il était impossible, me dit-elle, d’imaginer qu’une personne fut plus enamourée d’une autre qu’elle ne l’était elle-même de Notre-Seigneur ; elle ne pouvait souffrir de se trouver éloignée, ne fût-ce qu’un seul instant, de l’objet de son amour ; elle trouvait en lui sa consolation, ne cessant de lui parler ou de parler de lui [23] ».
Mais la Carmélite ajoute que cette présence ne peut être constante : dans l’union mystique, l’âme « vit presque constamment avec Notre-Seigneur Jésus-Christ selon un mode admirable d’après lequel sa Divinité et son Humanité tout ensemble lui tiennent toujours compagnie [24] ». Et elle dit de même des deux autres Personnes divines [25]. Pourquoi « presque constamment » ? La Madre s’en explique ailleurs :
« Cette présence habituelle des trois divines Personnes n’est pas toujours aussi parfaite, ni, disons-le, aussi claire que la première fois et les quelques autres circonstances où Dieu daigne accorder à l’âme cette faveur; car s’il en était ainsi il serait impossible à l’âme de s’occuper d’autre chose et même de vivre au milieu du monde [26] ».
3) L’union d’amour
Ce souvenir de l’Aimé est un acte de la mémoire. Mais cet acte de la mémoire s’identifie, ultimement, à un acte d’amour. C’est ce qu’affirme le théologien suisse Balthasar dans la citation placée en exergue. D’abord, parce que le souvenir se porte vers l’« Ami véritable [27] » qu’est Jésus. Ensuite, parce qu’il est mû par l’amour : « Le véritable amant aime partout son Bien-Aimé et ne perd jamais son souvenir [28] ». Ainsi, l’acte de mémoire (l’actualisation de la présence de Dieu en moi) en quoi consiste la prière jaillit de l’amour autant qu’il l’exprime. En ce sens, l’on peut dire de lui qu’il est un acte d’amour, avec cette particularité : il est comme l’organe de la continuité, de la présence continuelle au Bon Dieu en moi et hors de moi (chez l’autre et dans la nature).
Précisons aussitôt que cet amour n’est pas d’abord ni seulement un grand élan affectif, mais une union des volontés, ce qui se traduit par le « oui » à ce que l’Aimé (Dieu) veut de moi et pour moi, à commencer par la réalité que je vis :
« La souveraine perfection ne consiste pas évidemment dans les joies intérieures, ni dans les grandes extases, ni dans les visions, ni dans l’esprit de prophétie. Elle consiste à rendre notre volonté tellement conforme à celle de Dieu que nous embrassions de tout notre cœur ce que nous croyons qu’il veut, et que nous acceptions avec la même allégresse ce qui est amer et ce qui est doux, dès que nous comprenons que Sa Majesté le veut [29] ».
Tirons-en quelques conséquences pratiques.
Certains peinent, s’épuisent à « méditer sans cesse », parce qu’ils en font seulement un devoir et un effort de la volonté. Sainte Thérèse leur conseille de substituer à ces actes volontaristes (plus que volontaires) des élans d’amour. Citons à nouveau ce conseil qui est en fait une confidence et un témoignage : « Je sais bien que je ne puis y [la prière] consacrer de longues heures ; mais, ô mon Seigneur, quelle puissance n’a pas auprès de vous, un soupir qui jaillit du fond du cœur [30] ».
Voilà pourquoi la prière est éminemment démocratique :
« Je ne prétends point que ce n’est pas une grâce de pouvoir méditer sans cesse les œuvres de Dieu ; il est même bon d’y tendre ; néanmoins, qu’on le sache bien, toutes les imagination n’y sont pas aptes par leur nature, tandis que toutes les âmes sont capables d’aimer [31] ».
Voilà aussi pourquoi nous pouvons prier n’importe où et n’importe quand (et pas seulement dans une église ou devant le Saint Sacrement exposé !) : « C’est l’amour qui agit ici, et non la force ; le temps de solitude n’est pas indispensable ; et il ne faut pas s’imaginer qu’en dehors de la solitude il n’y a pas d’oraison [32] ».
Pascal Ide
[1] Hans Urs von Balthasar, L’amour seul est digne de foi, trad. Robert Givord, Paris, Aubier-Montaigne, 1966, rééd. Saint-Maur, Parole et silence, 1999, p. 87.
[2] « La Règle primitive dit que nous devons prier sans cesse. Ne négligeons rien pour remplir ce devoir, le plus important de tous » (Sainte Thérèse d’Avila, Chemin de la perfection, chap. 4, n. 2).
[3] « La Règle du Carmel », Les plus vieux textes du Carmel, trad. P. François de Sainte-Marie, Paris, Seuil, 21961, p. 88.
[4] Joseph Baudry, « Le souvenir continuel de l’ami », « L’amour quand il est grand… » Études sur sainte Thérèse d’Avila, coll. « Carmel vivant », Toulouse, Carmel, 2009, p. 287-307, ici p. 288. Nous nous aidons dans ces développements de la mise en ordre réalisée par ce grand intime de la sainte espagnole.
[5] Je m’inspire de Joseph Baudry, « Le souvenir continuel de l’Ami », « L’amour quand il est grand… » Études sur sainte Thérèse d’Avila, éd. Philippe Raguis, coll. « Carmel Vivant », Toulouse, Carmel, 2009, p. 287-307. Les références à sainte Thérèse de Jésus sont tirées de cet article de sagesse.
[6] Sainte Thérèse d’Avila, Chemin de la perfection, chap. 26, n. 9.
[7] Angel Maria Garcia Ordas, La persona divina en la espiritualidad de Santa Teresa, Roma, Teresianum, 1967, p. 34. Souligné par moi.
[8] Sainte Thérèse d’Avila, Vie, chap. 27, n. 10.
[9] Id., Vie, chap. 38, n. 6.
[10] Id., Correspondance, lettre du 1er décembre 1578.
[11] Id., Chemin de la perfection, chap. 6, n. 7.
[12] Id., Vie, chap. 37, n. 4.
[13] Id., Pensées sur l’amour de Dieu. Méditations sur le Cantique des Cantiques, chap. 3, 1.
[14] Jacques Maritain, Carnets de notes, Paris, DDB, 1965, chap. 7, p. 301-334 : « Amour et amitié ».
[15] Sainte Thérèse d’Avila, Vie, ch. 8, n. 5.
[16] Id., Chemin de la perfection, chap. 22, n. 1.
[17] Ibid., chap. 16, n. 3.
[18] Id., Le livre des fondations, chap. 5, n. 17.
[19] Id., Chemin de la perfection, chap. 29, 5. Souligné par moi.
[20] Id., Le livre des fondations, chap. 5, n. 16. Souligné par moi.
[21] Id., Vie, chap. 7, n. 12. Souligné par moi.
[22] Ibid., chap. 15, n. 6-7.
[23] Pedro Ibanez, Obras de Santa Teresa de Jesus, éd. P. Silverio, Burgos, tome 2, 1915, p. 148 : sainte Thérèse de Jésus, Relations spirituelles, Paris, Éd. de la Vie Spirituelle, tome 3, 1928, p. 201.
[24] Sainte Thérèse d’Avila, Le château intérieur, vie demeures, chap. 7, n. 9.
[25] Cf. Id., Le château intérieur, viie demeures, chap. 1, n. 6-9.
[26] Id., Le château intérieur, viie demeures, chap. 1, n. 9.
[27] Id., Relations, chap. 3, n. 1.
[28] Id., Le livre des fondations, chap. 5, n. 16.
[29] Id., Vie, chap. 37, n. 8.
[30] Id., Fondation, chap. 5, n. 16. Souligné par moi.
[31] Id., Le livre des fondations, chap. 5, n. 2. Souligné par moi.
[32] Id., Vie, chap. 7, n. 12. Souligné par moi.