Les sept habitudes de Stephen Covey, une actualisation de la vertu de prudence

« L’habitude d’appliquer en toutes circonstances les principes que nous avons définis comme tel est le comble de la sagesse [1] ».

 

The Seven Habits of Highly Effective People, de Stephen R. Covey (1932-2012) [2] est un ouvrage américain de développement personnel, à grand succès, traduit en 38 langues, diffusé à plus de 15 millions d’exemplaires en 2004 et monnayé en de multiples sous-produits [3]. De prime abord, tout en lui semble indiquer qu’il doit être rangé dans la catégorie de l’éducation par la technique de soi qui multiplie les recettes, plutôt que par l’éthique de soi qui construit la personne. Mais la longue introduction invite à réviser ce jugement. En effet, l’auteur explique la nouveauté de son chemin en opposant ce qu’il appelle une « éthique de la personnalité » (Personality Ethic), une « éthique du caractère » (Character Ethic), qui demande un travail profond et sur le long terme : « L’éthique du caractère enseignait qu’il existe des principes de base pour une vie fructueuse et affirmait que le seul moyen de réussir sa vie et de trouver le bonheur consistait à connaître et à intégrer ces principes à notre caractère », par exemple : « intégrité, humilité, fidélité, sobriété, courage, justice, patience », etc. En regard, « peu après la Première Guerre mondiale », on est passé à l’éthique de la personnalité qui se fonde sur « des techniques applicables aux rapports entre individus et un état d’esprit positiviste », autrement dit se centre sur les « techniques d’influence miracle, stratégies de domination, tactiques de communication et attitudes positives », pas sur « nos intention profondes [4] » ; elle tente « de modifier extérieurement » – ce qui est « d’une efficacité très limitée [5] ». La distinction entre les deux termes choisis, personnalité et caractère, est-elle pertinente ? Peu importe les signifiants. Le signifié, lui, est clair : l’éthique de la personnalité est à l’éthique du caractère ce que la recette est à la vertu. Voilà pourquoi Covey parle de habit, qu’il vaudrait rendre par « habitus » et non par « habitude » ; or, la vertu est un bon habitus. De fait, les sept « habits » retrouvent une vertu cardinale de l’éthique classique, ainsi que nous allons le voir. Enfin, de manière heureuse, Covey ne cherche pas tant à confronter les deux éthiques qu’à les intégrer : « C’est seulement sur des qualités sincères [ce que nous appelons les vertus] que la technique pourra se greffer [6] ».

Parcourons brièvement les sept habitu(de)s en général (1) et appliquons-les à la famille (2), avant d’en proposer une relecture éthique (3).

1) Les sept habitudes en général

Loin de se succéder de manière arbitraire, les sept habitudes s’organisent en quatre sections.

a) Paradigmes et principes

Avant d’entrer dans le détail des habitudes, Covey y explique sa vision de l’être humain qui l’a conduit à parler en termes d’habitudes. L’individu détecte son environnement, comment il établit ses habitudes et comment il peut arriver à se re-reprogrammer en termes d’habitudes.

b) Victoires privées

Ces habitudes, comme les suivantes, sont présentées sous forme d’impératifs résumés en un précepte.

1. Être ProActif

Ce chapitre recommande une attitude de prise d’initiative, de contrôle de sa vie et met cette attitude à l’opposé de la position de « réactivité », où l’on se retrouve fatalement contrôlé par le monde qui nous entoure.

2. Commencer par définir un Objectif

Covey explique pourquoi il faut fixer des objectifs à long terme basés sur des « principes de vrai-nord ». Covey recommande de formuler sa « mission personnelle » pour mettre par écrit ses propres objectifs de vie.

3. Commencer par le commencement 

Ce chapitre explique comment être efficace jour après jour en se focalisant sur ce qui importe vraiment vis-à-vis des objectifs à long terme. Ce chapitre fait l’objet d’un ouvrage annexe F1rst things F1rst. C’est la Gestion du temps, de ce qui est Important par rapport à ce qui est Urgent. Comment ne pas se faire piéger par l’urgence et continuer à avancer vers ce qui est important ?

c) Victoires publiques

4. Penser Gagnant + Gagnant 

Covey décrit comment développer une attitude humaine gagnante en négociant des solutions gagnantes pour soi-même et pour les autres personnes afin de nourrir des relations gagnantes à long terme.

5. Chercher d’abord à comprendre, ensuite seulement à être compris 

Covey explique comment communiquer efficacement avec une personne pleine d’émotions et de besoins dont celui de se faire comprendre et de se faire valider par un autre humain. Covey décrit l’écoute empathique comme étant la base d’une communication bidirectionnelle complète, écoute préalable nécessaire à l’humain pour qu’il puisse enfin s’ouvrir aux idées des autres.

6. Synergiser

Le chapitre explique pourquoi et comment travailler en équipe amène des résultats bien au-delà de la somme des résultats de chaque individu – processus que la philosophie nomme dialectique (sic !).

d) Renouvellement 

7. Affûter la scie

Ce dernier chapitre explique l’intérêt de prendre du temps pour s’affûter soi-même par une habitude d’auto-éducation afin de continuer son développement personnel et atteindre ses objectifs. Cette habitude consiste aussi à prendre soin de soi : de son corps, de son esprit, de son mental. La septième habitude invite donc le lecteur à commencer un processus d’auto-amélioration.

À la différence d’autres livres dédiés à la gestion de ses activités, Covey n’hésite pas à parler du rôle des valeurs et de leur mise en pratique pour atteindre un véritable équilibre personnel. De plus, en opposition à beaucoup d’ouvrages traitant des valeurs aux États-Unis, il indique pourquoi ces valeurs peuvent parfaitement exister dans un contexte autre que religieux si besoin.

2) Application aux familles

Nous le disions, Covey a appliqué son propos à différentes réalités. Dans son ouvrage Les sept habitudes des familles épanouies, il illustre son livre plus général par la vie familiale. Parcourons-le pour concrétiser les principes plus généraux et glaner en passant quelques précieux conseils.

a) Habitude n° 1 : Soyez proactif

« L’Habitude n° 1 – être proactif – est la clé de toutes les autres ». En effet, elle « incarne le plus grand don de l’homme : la liberté de choix. À part la vie elle-même, il n’y a rien de plus précieux [7] ». Comment devenir proactif ?

1’) En négatif, combattre la réactivité

Proactif s’oppose à réactif. Stephen Covey constate avec profondeur que la plupart de nos décisions ne sont pas voulues, mais réactives, donc peu durables.

Précisons. Une attitude réactive se caractérise par son caractère immédiat, impulsif, peu conscient ; en particulier, le fait qu’elle ne passe par la conscience se traduit dans l’absence de délai. Autrement dit, nous fonctionnons souvent en pilote automatique. Tout à l’opposé, une attitude proactive suppose toujours l’éveil de la conscience et de la liberté ; elle se traduit par un délai entre le stimulus et la réponse, ou, en langage imagé, par l’utilisation d’une « touche-pause ».

L’intuition sous-jacente est donc celle du primat de la liberté.

3’) En positif, développer ses dons

La pro-activité est donc la mise en œuvre de notre liberté. Elle requiert de développer « quatre dons propres à l’homme » : la conscience de soi, l’éthique, l’imagination et la volonté indépendante. Ce faisant, l’auteur convoque les différentes facultés humaines concourrant à l’acte de liberté. L’enrichissant de l’imagination qui est une capacité ouvre à des voies nouvelles [8].

4’) En positif, distinguer le cercle d’influence et le cercle des préoccupations

la liberté s’exerce dans un certain milieu. Donc, la pro-activité met en jeu notre environnement. Stephen Covey propose de distinguer le cercle d’influence et le cercle des préoccupations. Le second est le plus grand cercle et correspond à tous les stimuli extérieurs auxquels nous sommes confrontés ; le premier est un plus petit cercle, inscrit dans le premier, et qui correspond à toutes les choses et les événements sur lesquels nous pouvons agir. La proactivité se concentre sur le cercle d’influence au lieu de se plaindre, de manière totalement inefficace, de la taille du cercle des préoccupations. Covey retrouve sans le savoir une distinction fondamentale de la philosophie stoïcienne : ce qui est en mon pouvoir et sur lequel je dois agir ; ce qui n’est pas en mon pouvoir et auquel je dois consentir. Il l’illustre par l’exemple suivant :

 

« Je connais des parents dont la fille avait un comportement tel que, selon eux, continuer à l’accepter au sein de leur foyer ne pouvait que détruire toute la famille. Le père a donc décidé que, lorsqu’elle rentrerait à la maison ce soir-là, il mettrait les choses au point : soit elle s’engageait à faire certaines choses, soit elle quittait la maison le lendemain. Sur ce, il s’est assis et l’a attendue. En l’attendant, il décida de faire une liste de ce qu’elle devait changer si elle voulait rester. Lorsque la liste fut terminée, il éprouva un sentiment que seules les personnes qui ont traversé une pareille épreuve peuvent connaître.

« La mort dans l’âme, tout en l’attendant, il retourna la feuille. Au verso, il se mit à énumérer ce qu’il était prêt à changer si elle s’engageait à changer de son côté. Il fondit en larmes lorsqu’il se rendit compte que sa liste était plus longue que celle de sa fille. Toujours dans cet état d’esprit, il accueillit sa fille humblement lorsqu’elle rentra à la maison et entama avec elle une longue discussion en commençant par sa propre liste. Son choix de commencer par cette liste a fait toute la différence. Il a agi de l’intérieur vers l’extérieur [9] ».

b) Habitude n° 2 : Sachez dès le départ où vous voulez aller

Après avoir insisté sur le pôle décisionnel, Stephen Covey insiste maintenant sur le pôle motivationnel : la finalité, l’objectif, la destination.

Or, le moyen par excellence et nécessaire d’incarner l’objectif est la mise en place d’une charte familiale. Qu’est-ce ? C’est « l’expression, par tous les membres de la famille, de leurs objectifs communs – ce qu’ils souhaitent faire et être – et des principes qu’ils choisissent pour y parvenir [10] ». Et cela vaut aussi pour les couples, les familles à deux.

Pourquoi ? En plein, « toutes les organisations qui réussissent ont des chartes [11] ». En creux : « Si l’on examine attentivement les difficultés que rencontrent les couples mariés, on constate que la plupart surviennent d’attentes différentes quant au rôle de chacun et sont exacerbées par des divergences dans la manière d’aborder les problèmes [12] ».

Stephen Covey propose une démarche en trois étapes que je ne fais qu’énoncer.

1’) Recherchez quelles sont les aspirations de chacun

La première étape ouvre les possibles, elle concerne la délibération. Chacun, c’est-à-dire les parents et tous les enfants, expriment ses opinions. Stephen Covey propose différentes méthodes, diverses listes de questions. Il donne notamment trois règles : écouter avec respect ; reformuler pour montrer que l’on a compris ; prendre des notes.

2’) Rédigez la charte familiale

La deuxième étape concerne la décision. L’écriture permet de cristalliser, de formaliser l’implicite. Toutes les possibilités sont ouvertes. Une charte peut se résumer en une phrase, voire en un symbole.

3’) Référez-vous à votre charte pour rester fidèle à vos choix

Cette dernière étape touche l’exécution sur le long terme.

c) Habitude n° 3 : Donnez la priorité aux priorités

Cette troisième habitude incarne la deuxième, c’est-à-dire en donne les moyens et permet à la charte de devenir une véritable constitution. En effet, l’expérience montre que la souffrance la plus fréquente tient à ce que l’homme sent un décalage entre ses aspirations et ses réalisations quotidiennes. Autrement dit, les priorités secondes dévorent la priorité première, il y a comme une inversion fin-moyens, dont saint Ignace nous avait déjà averti. « Ce qui compte le plus ne doit pas être à la merci de ce qui compte le moins », disait Gœthe [13].

Une application concrète que Stephen Covey ose tirer est celle de la hiérarchie de la famille vis-à-vis du travail : « Il ne faut pas partir du principe que le travail est incontournable. C’est la famille qui est incontournable. Ce changement d’état d’esprit est la porte ouverte à toutes les possibilités [14] ». En effet, la plus fréquente inversion de finalité concerne la relation travail-famille et, à travers le travail, la réussite professionnelle et l’accomplissement personnel. Puisque le modèle dominant (65 % des cas) est aujourd’hui le couple biactif. Or, la famille est la finalité parce que « le rôle de parent est un rôle unique, une fonction sacrée. Cette fonction consiste à favoriser le plein développement d’un être particulièrement cher dont on est responsable. Existe-t-il, sur n’importe quelle échelle de valeurs, une chose plus importante que de bien remplir cette mission – sur les plans social, mental, spirituel et économique [15] ? » Combien de parents disent : « Si c’était à refaire, je crois que je donnerais plus de temps à ma famille ». Or, loin d’être stérile, ce regret a posteriori est un critère de discernement.

Covey propose deux moyens concrets : l’instauration d’un rendez-vous familial hebdomadaire ; les moments de tête-à-tête d’un parent avec chaque enfant. En effet, il y a une dynamique de la relation qui n’existe qu’à deux.

 

Les trois habitudes suivantes se situent à l’intérieur de notre cercle d’influence. Stephen Covey les compare à la racine, à la tige et au fruit.

d) Habitude n° 4 : Pensez gagnant-gagnant

La majorité de nos attitudes se vivent dans l’esprit gagnant-perdant (ou perdant-gagnant). En effet, personne n’aime perdre, surtout contre un membre de sa famille. De plus, nous pensons souvent les situations à partir de notre point de vue, hors toute complexité : dans cette perspective, notre opinion est toujours vraie et l’opinion différente est toujours erronée. La conséquence en est que nous cherchons à imposer notre point de vue et à dominer. D’où un esprit de compétition et de jalousie. Enfin, les parents confondent souvent leur autorité avec un esprit de réussite et de conquête. Au fond, l’erreur de cette attitude tient à l’irrespect de l’autonomie et de l’intelligence de l’autre.

La juste attitude est l’esprit gagnant-gagnant. Et le moyen par excellence est la vue d’ensemble.

e) Habitude n° 5 : Cherchez d’abord à comprendre et ensuite à être compris

Là encore, le secret réside dans la prise en compte de la complexité. Le refus de celle-ci tient à deux erreurs : d’une part, nous ne voyons pas le monde tel qu’il est, mais selon notre perspective, conditionnée ; d’autre part, nous croyons que les autres voient le monde comme nous.

Par cette habitude, nous acceptons de changer notre cadre de référence [16].

f) Habitude n° 6 : Créez un effet de synergie

Cette habitude concerne le bien commun et le respect de la différence. Le couple passe du « je » ou du « tu » au « nous ».

g) Habitude n° 7 : Renouvelez vos ressources

Cette habitude est la mise en œuvre quotidienne de celles qui précèdent. En effet, constate Covey, l’amour s’use peu à peu. Or, cette entropie tient à ce qu’il a été réduit à un état amoureux passif. Notre auteur propose donc de passer de l’état (amoureux) à l’acte, à la décision : l’état amoureux ne s’autoentretient pas ; il demande de l’attention, des efforts, des soins. Et cela vaut particulièrement pour les relations humaines au sein du couple.

3) Relecture éthique

En fait, Stephen Covey retrouve la vertu cardinale de l’action, la prudence. Autrement dit, ces sept habitudes n’en sont en réalité qu’une : la prudence. Précisément, il en distingue les deux grandes espèces : la prudence personnelle (les trois premières habitudes) et la prudence collective (les trois habitudes suivantes). Il en distingue aussi les différents actes : l’intention de la fin, l’investigation des moyens, la décision du meilleur moyen et l’exécution. Enfin, il retrouve certaines parties intégrales à travers les quatre dons.

Mais Covey redécouvre la prudence, non sans en renouveler l’approche et la rendre beaucoup plus accessible.

Tout d’abord, il inverse à juste titre la décision (habitude n° 1) et la visée de la fin (habitude n° 2). C’est pédagogiquement heureux : il part ainsi de notre expérience la plus immédiate, celle de notre action. C’est phénoménologiquement pertinent : nous nous éprouvons d’abord comme des êtres libres, c’est-à-dire auto-déterminés avant de découvrir que cette liberté est orientée vers une fin.

Ensuite, il affine notre expérience de la liberté en partant là encore, non pas de l’idéal éthique (celui des Lumières, mais aussi celui de la morale traditionnelle), mais de notre condition habituelle qui est beaucoup moins glorieuse. En l’occurrence, nos actions sont beaucoup plus des réactions que des pro-actions.

De plus, en introduisant la distinction aujourd’hui vulgarisée de l’urgent et de l’important (Habitude n° 3), Covey introduit un critère de hiérarchie entre ce qui est ontologiquement premier (l’important) et ce qui est chronologiquement premier (l’urgent) qui incarne l’exécution et la rend plus efficace.

Par ailleurs, les trois habitudes concernant la prudence collective affinent aussi les critères de décision et d’exécution : la quatrième touche la fin en introduisant le bien commun (qui est hiérarchiquement premier vis-à-vis du bien individuel) ; les deux autres intéressent l’origine, soit du point de vue passif ou plutôt réceptif qu’est l’empathie (habitude n° 5), soit du point de vue actif qu’est la synergie (habitude n° 6).

Enfin, Covey enrichit les différents actes prudentiels d’un dernier acte : le renouvellement ou l’auto-amélioration. Cette ultime habitude ne se contente pas d’intégrer le long-terme, mais, implicitement, il fait appel au grand absent de l’éthique traditionnelle et moderne : la boucle de rétro-action, c’est-à-dire la prise en compte de l’action de l’environnement sur la personne.

4) Conclusion

L’éthique de Covey n’est pas sans présenter des faiblesses. Son anthropologie émarge à une conception au minimum darwinienne de l’interaction entre l’homme et son environnement, au maximum behavioriste en privilégiant le comportement sur la « boîte noire », l’intériorité. Mais ses développements affinent et finissent par annuler cette première impression passablement pénible. Au total, Stephen Covey propose rien moins qu’une actualisation, plus, un renouvellement du traité de la prudence.

Pascal Ide

[1] Alfred North Whitehead, « The Rythmic Claims of Freedom and Discipline », Id., The Aims of Education and Other Essays, New York, New American Library, 1929.

[2] Stephen R. Covey, The Seven Habits of Highly Effective People, New York, Simon and Schuster, 1989 : Les sept habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent, trad. Magali Guenette, Paris, Éd. First, 1991 ; rééd. en coll. « Bien-être », Poche, J’ai Lu, 2005.

[3] Stephen Covey, Les sept habitudes des familles épanouies, trad. Anne Carole Grillot et adapt. Gabriel Joseph-Dezaize, Paris, Éd. First, 1998 ; Id., Les 7 habitudes en action. Histoires de courage, sources d’inspiration, trad. Maxime Chavanne, Paris, Éd. First, 1999 ; Les 7 habitudes des couples qui durent, trad. Anne Confuron, Bruxelles, Mardaga, 2022 ; Id., avec la collab. de A. Roger Merrill et Rebecca R. Merrill, Priorité aux priorités. Vivre, aimer, apprendre et transmettre, trad. sous la dir. de Catherine Cullen, coll. « First business », Paris, Éd. First, 1998 : Paris, J’ai lu, 2010.

[4] Les sept habitudes de ceux qui réalisent tout ce qu’ils entreprennent, p. 32-34.

[5] Ibid., p. 46.

[6] Ibid., p. 37.

[7] Stephen Covey, Les sept habitudes des familles épanouies, trad. Anne Carole Grillot et adapt. Gabriel Joseph-Dezaize, Paris, Éd. F1rst, 1998, p. 89.

[8] Ibid., p. 48.

[9] Ibid., p. 63. Souligné dans le texte.

[10] Ibid., p. 97. Souligné en gras dans le texte.

[11] Ibid., p. 102.

[12] Ibid., p. 109 et 110. Souligné doublement dans le texte.

[13] Cité Ibid., p. 146. C’est moi qui souligne.

[14] Ibid., p. 151. Souligné doublement dans le texte.

[15] Ibid., p. 153.  Souligné dans le texte.

[16] Cf. l’excellent exemple Ibid., p. 255 à 257.

20.2.2025
 

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